Rendez-vous était donné à 8h30 -attention au changement d’heure- et 7 ont répondu présent. A noter que Sylvain était même en avance!!!! Anita a préféré rouler à la Cerza.
Gégé arborait encore un nouveau vélo (de prêt), un Trek Super Caliber de toute beauté. 11kg pour un TS, pas mal…
Ca commence par une crevaison sur le parking pour Médéric, le préventif n’a pas suffi, changement de chambre à air et enfin on démarre, il est 8h35, bien.
Le webmaster nous envoie direction Ecrainville par des chemins de plaine plutôt roulants avec du dénivelé sympa et pas trop difficile puis passage dans le bois du Piscat, peu emprunté mais très agréable -la trace est assez étroite et ponctuée de trous à négocier. Retour par la plaine où certains envoient les watts (Yoann et Sylvain), Gégé suit sans problème. Ah, et 2° changement de chambre à air pour Médéric.
Grosse descente de Fongueusemare, ça secoue pas mal, Yoann et Stéphane descendent à fond, les autres plus prudemment. On repart à droite pour grimper le Mont Roty, bizarrement c’est sec et ça grimpe pas trop mal à part ces saletés de cailloux qui nous font déraper.
Un peu de route et plaine herbue avant de plonger vers Vaucottes et son chemin avec marches en bois, ça file et ça saute, super!
On remonte sur Vattetot puis direction Etigues, le chemin est difficilement praticable en raison du ravinement, on en passe une partie à pieds, et gaffe aux barbelés. La remontée sur la route est un peu longue, Gégé commence à avoir mal aux pattes… Bénouville puis Valleuse du curé, petite photo et il faut porter le vélo pour arriver en haut de la falaise, avec un portillon en bois bien relou, grrr
On croise quelques promeneurs et même cyclistes et passage inédit à gauche, très sympa sous les arbres, mais ça grimpe bien sur la fin. Yoann en profite pour tomber à 5 m du haut de la bosse, dérapage… Etretat et on remonte le long du golf, à noter la belle figure de Gégé qui chute en tentant de passer la racine. Là, on ne cherche plus les difficultés, les crampes arrivent, aussi on part au plus court vers le Tilleul.
La descente de la côte aux chênes est très sympa même si en bas l’arbre est toujours là, avec le béton soulevé ça passe tout juste 😮
On remonte tout le bois de Beaurepaire – boueux en bas mais mieux ensuite- puis dernière bosse et enfin la voiture, il est midi pile! 41 km pour 600 m de D+, 14.5 de moyenne, il n’y a pas à rougir! Plus qu’à nettoyer les vélos et à la sieste!