C’est sous un magnifique soleil et des températures déjà élevées (18°C) que l’on se retrouve à Ganzeville pour un parcours annoncé costaud. Patrick, Eric, JC, Fabien, Bruno, Médéric et le webmaster en maître de cérémonie.
Montée assez raide dans le bois de Ganzeville (avec une descente bien pentue) en guise d’échauffement, Eric râle déjà, et on rejoint Toussaint par le GR bien raide. Patrick trouve un ancien collègue de boulot pour lui filer de l’eau, coup de bol car rien au cimetière, puis grosse descente pleine balle sur les ballastières, Eric ne semble pas craindre une nouvelle chute… On regrimpe avec le chemin du Torp sur Seinneville, chemin bien défoncé au milieu, puis c’est valleuse d’Elétot: la montée est longue mais ça se fait bien. Joli sous-bois aux fougères d’un vert éclatant. GR le long de la falaise avant de plonger sur St Pierre et chute du webmaster, glissade de la roue avant sur une petite ornière.
En bas, on hésite: montera, montera pas en ville? A la demande (presque) générale, on monte. Descente rapide par un petit single sympa avant un long chemin plat envahi de végétation très humide- le vélo est tout propre mais les pieds trempés- et on remonte sur Ecretteville. On continue pour la montée infernale de Drumare que Bruno et Médéric vont passer en entier, bravo! tandis que JC se retrouve sur le dos tout en haut du chemin, le c..l dans les orties!!!
Longue portion tranquille avant de redescendre la valleuse d’Eletot, bien pentue et en dévers qui va valoir à JC (encore!) une belle figue toute en dérapage de la roue arrière. Du coup, Bruno parti à fond de train finira lui aussi au sol, dans les ronces. 😀 On rejoint les éoliennes avant le passage par les blockhaus, ça remue un peu mais ça passe bien, et petite descente au port voir les 3 mats… dont on ne verra pas grand chose au final 🙁
Dernière bravoure avec la looogue montée au lycée de Fécamp, Fabien tire la langue, on a, je pense, tous les cuisses un peu lourdes, puis enfin la dernière descente herbue sur Ganzeville. Pas de bol pour Eric qui bute sur un gros bloc de béton caché par la végétation à 200 m de l’arrivée, avec sa clavicule il l’a bien senti, et enfin les voitures; il est midi tout juste, parfait!
40 km pour 700 m de D+ (regardez la courbe de dénivelé), on l’aura mérité notre apéro, je vous le dis!