Une nouvelle rando dans le coin, il fallait bien la tester, c’est donc les « locaux » qui se sont dévoués: le webmaster, Bruno, Adélaïde, Fred etc. Au choix vtt 15 32 45 et marche.
Regrettons le départ groupé à 9h qui fait tard pour certains, et parfois propice aux bouchons, heureusement qu’il n’y avait « que » 200 inscrits environ 😁
Vidéo des 30 premiers km, caméra en panne après…
On démarre sur le 45 par la piste cyclable puis longue montée du Torp jusqu’à Senneville, le chemin a été en grande partie refait, bravo, et une planche permet de franchir un gros trou. On n’a plus froid une fois là-haut, on continue par plaine et GR jusqu’à la longue descente de la valleuse d’Eletot pleine balle et encore une bonne montée en sous-bois qui passe bien, même si Bruno n’est pas au mieux de sa forme. On continue sur le GR pour descendre (fortement) à St Pierre en Port, quelques cailloux en bas mais plutôt propre dans l’ensemble, et longue remontée usante jusqu’au centre-ville pour le ravito. Bonne idée de linstaller à l’école, on peut profiter des toilettes… Le choix est varié, bravo , mais on ne s’éternise pas et ça repart pour les grandes Dalles.
La montée de la sente des douaniers nécessite un portage – je plains les VAE- mais en haut on profite d’une magnifique vue sur la mer et.. les éoliennes 😒 Long passage plat avant la descente trèèèèèèès pentue des Petites Dalles: sans la tds télescopique je serais passé à pieds! Remontée sympa par le bois pour rejoindre Sassetot puis St Pierre avec encore un beau coup de cul, les jambes commencent à fatiguer. *Grosse descente et remontée herbue à Ecrettevile puis Bois joli et montée quasi impossible par le champ de Calmare – j’ai réussi à passer de justesse. Grosse descente en dévers sur Eletot et longue remontée goudronnée , Bruno fatigue, quant à moi ce sera quelques étirements en haut. On rejoint Senneville puis les éoliennes et voici le passage enduro promis au départ: épingles, marches de 60 cm, single slalomant, pas simple mais amusant, sauf qu’une fois en bas il faut remonter jusqu’aux éoliennes et là ça rigole plus… Dernière descente par les blockhaus et ses jolis sauts et trous en on arrive pile à midi avec 45 km.
Petite bière bienvenue, coucou à Yannick Viel qui roulait avec nous au siècle dernier, et il est temps de se rentrer avec des vélos tout propres!
Bilan, on reviendra mais l’organisation doit s’améliorer: le paiement à distance par chèque est « has been », et le départ groupé n’est pas idéal, Médéric a même renoncé pour cela.
